Le département location de Toyota Material Handling met tout en oeuvre pour satisfaire rapidement les besoins de ses clients avec une large gamme d’engins, qu’il s’agisse de chariots élévateurs, d’élévateurs, de transpalettes ou de chariots tracteurs… Non seulement la gamme des engins de location est particulièrement étendue, la nature des clients est tout aussi hétérogène. Cela va des sociétés logistiques jusqu’aux brasseurs locaux, en passant par les entreprises industrielles et les festivals de musique et jusqu’aux sociétés de carnaval, telles que “’t Beste Van de Stoet” à Alost. La semaine dernière, ce groupe libre utilisait donc pour la deuxième fois un chariot tracteur TMH.
Beaucoup de folie, une pincée de sérieux
“’t Beste Van De Stoet” se considère comme une ‘société de carnaval arrogante’. Il faut dire que si tel n’était pas le cas, la société ne prétendrait pas être “’t Beste Van De Stoet. “Mais nous n’avons peut-être pas volé notre nom, puisque nous avons remporté deux prix cette année”, affirme Jeroen. Sa société est ce que l’on appelle un groupe libre, également baptisé “De Koaliesje (dialecte pour la coalition)”. Il s’agit en effet d’un partenariat entre “Oor Op Den Baal” (ce qui signifie en dialecte d’Alost ‘des cheveux sur la tête’) et “Lotjeronstissen” (pour ‘laat er ons tussen, soit laissez-nous passer), deux groupes de trentenaires qui participent au cortège depuis plus de quinze ans. “Les groupes libres ne sont pas la tasse de thé du comité des fêtes local. Une bande de rigolos, des politiciens non élus dotés d’un sens de l’humour discutable, et qui nous accusent, nous les quelque 200 groupes libres, de créer des trous dans le cortège”, poursuit Jeroen.
Une espèce menacée
Le comité des fêtes est menacé ces derniers temps, la ville d’Alost souhaitant réduire de moitié le nombre de ses membres. “’t Beste Van De Stoet” y fait allusion avec son char, représentant une cage à singes, avec des singes, évidemment, mais aussi des gardiens de zoo, des cacahuètes et des bananes. “En effet, le comité des fêtes est devenu une expèce menacée, ou une “bedroigd soert” en dialecte local. C’est précisément parce que nous sommes un groupe libre que nous réussissons à prendre le train de l’actualité en marche, puisque contrairement aux groupes officiels, nous ne commençons à préparer nos chars que début janvier. C’est pourquoi nous sommes le sel – et le poivre - du cortège”, sourit Jeroen.
Complices dans le crime
Mais le sourire de Jeroen a peut-être également un rapport avec le chariot tracteur 4CBT2 de Toyota. “Nous sommes effectivement très contents de cet engin, ainsi que de la qualité des services proposés par la marque. Toyota communique rapidement et de manière fort concrète. De plus, nous ne sommes pas obligés de réserver l’engin en location plusieurs mois à l’avance, ce qui nous permet de la jouer serré”, précise Jeroen.