Moyennant un supplément, le Reflex RRE-H peut être livré avec un toit entièrement vitré offrant une meilleure visibilité vers le haut que le toit en éventail classique. Cette dernière variante reste par ailleurs disponible normalement. « La solidité du nouveau toit a été rigoureusement testée. Conformément aux normes ISO 6055, le toit d’un chariot d’une capacité de levage de 1501 à 2500 kg est capable de supporter la chute d’un poids de 680 kg sur le chariot élévateur, tandis que le toit d’un modèle d’une capacité de levage comprise entre 2504 et 3500 kg doit être capable de résister à la chute d’un poids d’au moins 1360 kg. Ainsi, la sécurité de l’opérateur du chariot élévateur n’est jamais compromise », souligne Patrick Detaeye.
Lorsque le Reflex RRE-H est à l’arrêt, la roue motrice se positionne automatiquement droite. « Cela permet d’éviter les mauvaises surprises au départ suivant », estime Patrick Detaeye. Ancienne option, cette roue motrice qui se positionne automatiquement droite est désormais installée de série sur le chariot élévateur de Toyota.
Le Reflex est équipé d’un laser installé juste en dessous des fourches. « Ce rayon laser détermine l’emplacement des fourches, puisque la ligne horizontale de la croix du laser représente également la position correcte des fourches », explique Patrick Detaeye. Le conducteur du Reflex RRE-H est donc toujours sûr que ses fourches s’adaptent correctement aux ouvertures des palettes. Ce laser est aussi l’outil idéal pour compenser la perte de perception de la profondeur à grande hauteur. Cette solution empêche en outre de pousser les palettes à travers l’étagère et de les faire éventuellement tomber de l’autre côté de celle-ci.
Le chariot élévateur Reflex REE-H ralentit aussi automatiquement dans les virages. Patrick Detaeye : « Ce dispositif est particulièrement pratique et sûr, car la machine freine même si vous gardez le pied sur l’accélérateur, ce qui exclut désormais les sorties de virage ».
La structure de la fourche du nouveau chariot élévateur Reflex a été modifiée, faisant ainsi disparaître la fameuse croix. En conséquence, la visibilité au volant est nettement améliorée. « Cette croix se trouvait toujours d’une manière ou d’une autre dans le champ de vision de l’opérateur. La nouvelle structure du mât fait donc une nette différence », témoigne Patrick Detaeye. De plus, l’ensemble des câbles a été déplacé du centre vers le côté, ce qui bénéficie également à la visibilité.