Une journée dans le sillage d’un technicien de service Toyota

Toute machine finit bien par devoir être entretenue ou réparée. Chez Toyota Material Handling, les techniciens de service assurent un service d’entretien et de réparation rapide et fiable. Nous avons suivi Bart De Donder, un technicien de service de Toyota Material Handling Belgium, tout au long de sa journée de travail.

Les clients deviennent des collègues

Il est 8 heures du matin lorsque nous retrouvons Bart à Willebroek. Au début de sa carrière chez Toyota, il y a maintenant 14 ans, Bart travaillait principalement dans la périphérie de Bruxelles. « Avant, je travaillais davantage pour de petits clients, dont la flotte ne comptait qu’un ou quelques chariots. Désormais, je m’occupe d’entreprises de plus grande envergure. J’ai donc moins de clients, mais j’apprends à mieux les connaître. Je peux aller jusqu’à dire que certains d’entre eux sont presque devenus des collègues... Vous pouvez donc imaginer le temps que je passe chez eux ! », déclare Bart en riant.

 

Entretien et contrôle

Le travail quotidien de Bart consiste à effectuer des contrôles et des entretiens. « Pour l’entretien d’une grosse machine, comme un chariot à mât rétractable, on compte généralement deux heures. Tout dépend du type de chariot bien sûr, mais aussi du type d’entretien », explique Bart. Entre-temps, nous voilà arrivés chez son premier client de la journée. « Ici, nous allons remplacer un levier de commande qui ne tient plus bien, ce qui pose problème lors de la conduite », nous annonce Bart.

Service sur mesure

Toyota Material Handling Belgium propose à ses clients plusieurs possibilités d’interventions en cas de panne. « Les entreprises peuvent fixer des priorités. En cas d’intervention Prior 3 par exemple, je dois me rendre chez le client le jour même, pour une intervention Prior 2, je peux terminer la tâche à laquelle je suis occupé, mais je dois aller chez le client immédiatement après, et pour une intervention Prior 1, je dois tout laisser en plan pour courir chez le client dans les plus brefs délais. Évidemment, les clients paient pour ce type de service », raconte Bart.

 

« Jusqu’ici, je n’ai eu qu’une seule intervention Prior 1, heureusement, même si je ne l’oublierai pas de sitôt. On m’avait téléphoné pour me dire que l’un de nos chariots était immobilisé sur un rond-point de Bruxelles très fréquenté. Je me suis immédiatement arrêté et j’ai pris la route pour Bruxelles. Lorsque je suis arrivé, il y avait pas mal d’embouteillages et quelques agents de police autour du chariot. Autant vous dire que j’avais une légère pression sur les épaules pour réparer le chariot », se souvient Bart en souriant.

 

Pièces en stock

Depuis quelques années, nous travaillons avec un nouveau système de stock, grâce auquel nous avons toujours 90 % des pièces à disposition. Lorsque nous avons besoin d’une pièce, nous en faisons la demande et le lendemain, elle se trouve dans notre camionnette.

 Le client ne doit jamais attendre plusieurs semaines pour une réparation. Après quelques bouchons, nous arrivons chez le deuxième client de la journée. « Ici aussi, le problème touche le volant de plusieurs chariots à mât rétractable, mais il a été pris à temps et nous ne devons donc pas remplacer l’ensemble du volant », nous confie Bart.

 

T-Stream 

« Auparavant, nous organisions notre journée nous-mêmes, mais nous avons changé de système depuis peu. Désormais, nous recevons notre planning journalier le matin. Il est toujours provisoire car tout peut changer en cours de journée. L’avantage de ce système, c’est qu’il nous permet de venir en aide à chacun de nos clients le plus rapidement possible. Il ne faudrait pas qu’un client finisse aux oubliettes... », ironise Bart.

 

Une fois arrivé chez le troisième et dernier client de la journée, Bart nous explique le travail qu’il doit y effectuer : « Cette entreprise produit des fleurs. À leur arrivée ici, nos chariots sont orange, mais après un certain temps, il devient difficile d’en discerner la couleur », raconte Bart en riant. « Aujourd’hui, je dois remplacer les roues de trois transpalettes électriques. Elles s’usent rapidement du fait de l’inégalité du sol et de l’utilisation intense des chariots. Et c’est tout à fait normal. Parfois, il faut déjà les remplacer après 3 mois, mais dans d’autres cas, cela peut attendre deux ans. Tout dépend de la fréquence d’utilisation et des surfaces empruntées. J’ai reçu les nouvelles roues hier pour pouvoir les remplacer aujourd’hui », conclut Bart tandis qu’il termine de placer la dernière roue, ce qui marque aussi la fin de sa journée de travail.

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